ANNEXE
SONDAGE


Après avoir créé deux arômes synthétique et naturel de banane, nous nous sommes demandé comment nous pourrions les comparer. Le premier critère de comparaison était bien évidemment l’odeur de chaque arôme. Nous avons donc réalisé un sondage auprès de 6 de nos camarades, les trois produits proposés étaient notre arôme de banane naturel (A), notre arôme synthétique (B) et un arôme trouvé dans le commerce (C)
Nous avons interrogé 24 personnes sur leur perception de 3 différentes arômes de banane. Toutes ont reconnu l’arôme naturel et synthétisé de banane réalisés par nos soins. Quant à l’arôme commercial, 20 sur 24 personnes l’ont reconnu.
Ensuite, nous avons demandé aux personnes de noter l’intensité de l’odeur des arômes sur 5. L’arôme naturel obtient l’intensité la moins élevé à 2,3/5. Celle du commerce obtient une note de 4/5, et pour finir l’arôme synthétisé de banane a été jugé le plus fort à l’odeur avec une note de 4,3/5. On peut voir donc que l’odeur de banane est bien plus présente dans l’arôme synthétisé.
Enfin, on leur a demandé de désigner quel arôme était leur préféré. On remarque qu’ici, la préférence peut dépendre de l’intensité de l’odeur, puisque l’arôme naturel qui a la plus faible intensité obtient également le moins de préférence (seulement 4 sur 20). De même, l’arôme synthétisé de banane ayant eu le plus fort taux d’intensité est celui qui obtient le plus de préférences (12 sur 20).
Le sondage est ici à petite échelle, on peut donc imaginer qu’à plus grande échelles, certains paramètres auraient pu changer, notamment pour la préférence qui est un paramètre arbitraire puisqu’elle est différente pour chaque personne. Néanmoins, on peut tout de même conserver le classement de l’intensité des arômes, puisque les différentes intensités ont été perçues à peu près de la même façon pour chaque arôme.
chromatographie
Nous avons réalisé une chromatographie à des trois arômes à notre disposition, les deux réalisés par nos soins et celui du commerce.
Le produit A est notre arome de banane naturel, le B est le synthestisé et le C est l'arôme provenant du commmerce. Puis une deuxième, suite à un échec.


1e étape : Déposer la plaque dans le bécher où se trouve l’éluant : l’Ethanoate d’Ethyle. Puis recouvrir le bécher d’une plaque afin que l’atmosphère du bécher reste saturée en vapeur d’éluant. Une fois que le solvant atteint environ ¾ de la feuille de silice, retirer la feuille, tracez la ligne atteinte par l’éluant puis la sécher.

2e chromatographie : On observe toujours qu’une partie des composants de la A coïncide avec une partie des composants de la C. On remarque ensuite que pour chaque arôme, une tâche c’est installée à la ligne de front. Il nous faudrait savoir si c’est parce qu’ils ont les même composants ou si c’est dû à un manque de prolongation de la feuille. On ne peut donc pas beaucoup s’avancer sur cette chromatographie.
